Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples
Par Yann Duchet
Assemblée Nationale française
(Photo Padrig Delorme)
Emmanuel Macron demandait une clarification ! Un grande confusion en est le résultat ! Après le raz-de-marée Rassemblement National, dans la durée (Élections Européennes puis 1er tour des Législatives), raz-de-marée prévisible, le centre macroniste reculant nettement, c'est à une tripartition, dont deux extrêmes (Rassemblement National – La France Insoumise) anti-européens et ultra-jacobins, incarnés respectivement par Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, que se voit confronté le futur nouveau pouvoir.
Il est à noter que, depuis les révoltes des Bonnets-Rouges puis des Gilets-Jaunes, se manifestait une grande détresse sociale et sécuritaire, une colère populaire non-entendue par Paris. Le R.N. n'ayant jamais gouverné, nombre de désespérés du système votèrent pour lui : « On verra bien ce qu'ils feront, les autres on a déjà vu.» Bref, l'ouverture aux populismes. Macron a joué avec le feu, il s'est brûlé la main droite et la main gauche. Avec un R.N. qui réunit un tiers des suffrages à l'extrême droite, un Front Populaire majoritaire mais bien désuni à gauche et à l'extrême gauche, l'Assemblée Nationale sera dès le départ ingérable et l'État ingouvernable. Á commencer par le choix d'un-e premier-e ministre.
la suite dans l'édition papier
Breizh da Zont - L'Avenir de la Bretagne
Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples.
Revue bimestrielle