Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples
Par Thierry Jigourel
Les événements récents, tant aux Etats-Unis qu’en France, nous permettent de mettre en lumière un racisme quasi institutionnalisé et toujours impuni, vis à vis des Bretons et d’autres minorités nationales, mais aussi de revenir sur des propos surprenant prononcés par Jules Ferry, dont le nom a pourtant été donné à nombre d’écoles de LA République.
La mort tragique d’un «Afro-américain», et ses répercussions émotionnelles au «pays des Droits de l’Homme», a mis l’Hexagone en ébullition et provoqué chez M Castaner une prise de position, non moins émotionnelle, en particulier à propos de l’affaire Adama Traore, que sa famille compare à celle de George Floyd, tué par Derek Chauvin à Minneapolis. Notre confrère le Télégramme rappelait qu’une enquête judiciaire indépendante est en cours. Pour M. Castaner, pourtant, l’homicide volontaire ne fait pas de doute, aggravé qu’il serait par le racisme des forces de l’ordre.
On s’étonne que Christophe Castaner découvre par enchantement l’existence de violences policières, lui qui pendant le mouvement des «gilets jaunes», lorsque ses troupes matraquaient des femmes à terre qui imploraient leur pitié ou tiraient des projectiles de LBD sur des manifestants qui s’enfuyaient, répondait imperturbablement que la violence policière n’existe pas. Lorsqu’on lui montrait les images évidentes prises sur place, M. Castaner répondait tout aussi sûr de lui que la police a le monopole de la violence légale, et que cette violence n’est donc pas de la violence, un peu à la manière de Jean-Paul Sartre qui avait «raison d’avoir tort».
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Breizh da Zont - L'Avenir de la Bretagne
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Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples.
Revue bimestrielle