Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples
Les derniers événements en Nouvelle-Calédonie / Kanaky font la une des médias hexagonaux, mais deux faits sautent aux yeux des observateurs : ces infox ne concernent que les faits de violences et de «maintien de l'ordre», sans aucune analyse des causes de ces violences et aucun Kanak n'est jamais interrogé, voire même pas mentionné, sinon sous le vocable «d'émeutier» par ces médias. Parti pris ? Sans aucun doute et également mépris !
Et le pouvoir ? Le dernier dialogue, suite aux luttes et aux morts de la grotte d'Ouvéa, datent de 1987 et du référendum sous l'égide de Michel Rocard. Depuis, c'est la lente dégradation des rapports entre les deux communautés Caldoches (Européens et loyalistes) et Kanaks (autochtones et indépendantistes), dans un souverain mépris pour les seconds. Le dernier référendum pour l'indépendance, de 2021, montrait déjà assez de signes de rupture par le boycott des indépendantistes du scrutin. N'importe quel analyste sérieux et impartial y aurait vu une situation pour le moins tendue. RAS pour l'Etat français qui, dans un souverain mépris argue de résultats forcément faussés dès le départ. La Nouvelle Calédonie reste dans le giron de la République pour le plus grand bien de l'extraction du nickel (30% de la production mondiale), point final ! Cocorico !
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Breizh da Zont - L'Avenir de la Bretagne
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Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples.
Revue bimestrielle