Evit Breizh dizalc’h en Europa ar pobloù
Pour une Bretagne libre dans l’Europe des peuples
Entre hard Brexit et scottish nervous breakdown
Par Patrice Perron
Il y a plus d’un an déjà que le peuple du Royaume jusqu’alors Uni a voté en faveur du Brexit : c’est-à-dire pour la sortie de l’Europe. C’est sur ce deal que Theresa May s’est mise en avant. Pari gagné ! Il faut reconnaître que l’analyse des votes est pleine d’enseignements : ce sont les Anglais qui ont voté « pour », alors que les Ecossais ont voté « contre », parce qu’ils veulent rester Européens, dans leur perspective d’indépendance. Même les Irlandais d’Ulster ont été partagés : ils sont unionistes, mais quand même, l’Europe les intéresse, ne serait-ce que pour le commerce avec l’Eire.
Dopée par cette première réussite, la première ministre anglaise s’est engagée dans une communication hardie, quelque peu vengeresse, presque revancharde. Elle affirme sa volonté d’un Hard Brexit, un Brexit dur comme on dit de ce côté du Channel. Mais de quel droit un équipier quittant son navire en difficulté pourrait-il formuler des exigences à l’égard de ceux qui restent ramer dans la déconfiture ?
Par ailleurs, courant août 2017, une source proche du gouvernement anglais, a annoncé que ce gouvernement est prêt à verser 40 milliards d’euros pour quitter l’Europe en mars 2019 en contrepartie d’un accord sur les futures relations commerciales, notamment un libre accès au marché unique, rien que cela ! Alors que l’Europe estime la facture des Anglais à 100 milliards d’euros.
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